Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Yolande Demers Hébert 28 octobre 1939 au 10 janvier 2016

10311380_10152721542066084_4344849911334227826_n.jpgdécédée le 10 janier 2016 née 28 octobre.jpg

 

 

YOLANDE DEMERS HÉBERT

28 octobre 1939 au 10 janvier 2016

 

 

Je pense à toi et les images dans ma tête défilent

Les souvenirs sur le fil

De la vie

 

L’amour demeure au centre de ton existence

La fierté en a aussi tracé les contours

Tour à tour

Même tes silences

Avaient un sens

 

 

Tu as compris et mis en pratique ce don de l’amour

Chacun de nous se sentait unique et important

 

L’espace d’un «  toast, d’un bon café » tu étais là à nous écouter

Jamais tu n’as minimisé ou nié les joies ou les peines de ceux qui te racontaient leur histoire

Tu «  tassais » tes propres joies, tes douleurs

Pour mieux nous ENTENDRE

Tu portais les autres sur ton cœur

Tu savais vivre le moment présent

 

Je me souviens : riche ou pauvre

Ta présence

Tes paroles sages

Avec oncle Henri-Louis, vous avez connu les hauts et les bas de la vie

 

Je me souviens du décès de Christiane

 

Elle était dans son petit cercueil dans votre salon…

 

Je me souviens de la grande fête pour souligner l’arrivée de Martin qui n’était pas «  planifiée », mais le BONHEUR était au rendez-vous

 

Je me souviens de tes confidences

De notre première » paye » de notre première «  bière »

 

Un jour, la maladie est arrivée, mais tu voulais avoir le dernier mot

Ton humour nous frisait le poil parfois. Tu dédramatisais même ta future mort …

Tu as le droit de vouloir te reposer maintenant

Tu avais déjà plusieurs enfants

Pourtant tu sembles avoir attendu que tout « ton petit monde » puisse voler à son tour

Ton but d’amour est réussi

Même ta mort te ressemble

Tu avais cette foi qui déplace les montagnes

Une foi en l’humanité

 

Un grand rassemblement, de la solidarité, de la fraternité, de la compassion… de l’amour

 

Comme tes enfants, tes petits-enfants, tes sœurs, tes frères, tes nièces, tes neveux… tes amis(es) je vais tenter de puiser en moi ce que tu possédais. Ce don d’amour qui passe par L’ACCEPTATION.

 

Je t’aime et tu me manques déjà, mais ce n’est qu’un aurevoir

 

Bisou xxx

 

 

 

 

 



25/01/2016
2 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 270 autres membres