Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Un printemps prématuré.

Un matin, la terre accouche d’un printemps prématuré et après avoir pleuré plusieurs jours, on voit se multiplier les arbres et les fleurs du jardin. Derrière la maison de l’homme et de la femme, un gigantesque arc-en-ciel illumine toute la région.

On se croit dans un palais des milles et une nuits. Les murets et les haies de thuyas assurent une intimité des plus délicieuses à tous ceux qui s’y repaissent et la façade de la maison mise sur la discrétion. Une allée de dalles bigarrée ainsi qu’une arche toute fleurie, invitent à un temps d’arrêt pour admirer la nature en plein éveil.



01/04/2011
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