Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Ouvrir la porte

Ouvrir la porte.

 

Le matin se dessine sur une toile de fond bleu et le soleil fait de gros yeux aux nuages effrontés qui n’ont

 

pas encore quitté les lieux. Le clocher de l’église carillonne et le coq se met à chanter.

 

 

Un homme se tient debout et contemple des oiseaux qui étirent leurs ailes. La chambre se remplit de

 

 

 

lumière et un souffle tiède entre par la fenêtre. À pas feutrés, l’homme sort de la chambre et il se dirige

 

 

 

vers l’entrée de la maison. Puis, il ouvre une porte et il s’avance dans l’allée. Les fleurs s’inclinent pour le

 

saluer et les feuilles jaunies annoncent la fin de l’été.

 

 

L’homme respire le parfum de sa vie. Il aime ce qu’il voit, mais il veut se rendre plus loin. Alors,

 

l’homme grimpe sur une colline et il ouvre la porte de son cœur. Respirant l’ai frais du nouveau jour, il

 

contempla le monde à ses pieds.



17/09/2011
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