Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Douleur

Une lame acérée et glacée me transperce brutalement. Je vacille et recroquevillée sur moi-même, j’ai

 

peine à respirer. Mon cerveau paralyse et je m’absente de moi-même. Puis, je continue d’aller de l’avant

 

pour éprouver la sensation que je suis encore vivante. Tout mon intérieur se déconnecte. Dans ces

 

instants de grande détresse, je dois composer avec le temps.

 

 

"Avec le temps

  

Avec le temps, va tout s’en va…

 

Avec le temps tout s’évanouit… »

 

Chanson de Léo Ferré

 

 

 



18/01/2012
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