Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Dans le bleu de la vie

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C’est trop lourd, un trou rempli d’eau. C’est trop grand, un vide en dedans. C’est trop douloureux, un manque…

La sensibilité, rose fragile et délicate. L’hyper sensibilité … cœur palpitant, hésitant, souffrant, heureux, mélancolique… Fait trop mal…parfois.

Cela prend si peu pour faire éclater ce cœur en mille étincelles de joie ou en mille éclats de pleurs.

Infinies braises d’étoiles qui crient en silence, pétales en ode de pluie dérivent sur un océan de rêves. La couleur de l’eau changeante, la marée gémissante. Comme si la terre bougeait trop rapidement que la rive s’éloignait…

Comme un mendiant assoiffé qui avance vers les rides du temps. Attendre l’aube. Entendre le son du vieux piano. Un bruit de voix étouffé presque oubli

Partir à la cueillette des pétales fanés. Des morceaux de vie s’échappent.

Au vent des départs, des mouchoirs froissés, des joues mouillés. Les adieux piquent les yeux.

Le temps passe, tremblements de cœur, roses de givre.

Dans le ciel, des chutes d’eau, des rayons de lune, des éclaboussures de bleu, du soleil…de la lumière dorée, pourpre, des lambeaux d’âmes, des oiseaux…

C’est compliqué parfois, un cœur

 

Dans le bleu de la vie

Toujours un peu de rose

Dans la musique de l'humanité

Des interprètes

...

 

Artiste peintre Odette Hayon Itah



21/05/2017
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