Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

À mes enfants

Toute jeune, je rêvais déjà de mes enfants et je ne cessais de me dire que mon amour pour

vous, deviendrait  votre forteresse. J’étais convaincue que mon affection vous protégerait à

jamais de toutes les peines de ce monde. J’ai pensé savoir. J’ai pensé connaître. J’ai pensé

 comprendre. Les années passent et je réalise que je suis impuissante devant beaucoup de

choses. Je ne peux pas vous empêcher de grandir. Je ne peux qu’assister à vos joies et

partager vos peines.

 

Peu importe l’âge, vous êtes et vous resterez toujours mes enfants.

 

Le jour de votre naissance, j’ai vu la Première merveille du Monde.

 

Le dernier jour de ma vie, vous serez encore Ma première Merveille du Monde.

 

Maman

 



16/05/2011
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