Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Si beau

Je me souviens de cette douceur de septembre. Sur la Place Saint Marc, j’étais stupéfaite même inquiète, l’eau

 

couvrait mes chaussures de gamine. Tu riais avec ces yeux pleins de lumières qui illuminent même la nuit. Je te

 

suivais presque à l’aveuglette. Pas de « vaporetti  pour nous, mais bien la gondole vénitienne avec ta main

 

dans la mienne, mon corps au creux du tien, tu m’as fait visiter le refuge des amoureux. Puis, à la fonderie de

 

verre, j’étais si fascinée que tu m’as offert, ces coupes de cristal que nous avons fait livrer par bateau jusqu’au

 

pays de l’hiver. C’était …si beau…

 

 

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15/10/2012
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