Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Ses yeux couleur de mer


Une tristesse sauvage


Habite le joli visage


De l’enfant.

 

 

Tendrement


Cet enfant


Trop sage


Écoute le chant


Des coquillages.

 

 

 

 

Silencieusement

 

L’enfant

 

S’accroche au rivage

De l’océan bleu et vert

Comme ses yeux couleur de mer.

 


Les blessures


Les gelures


Enfouies dans ses bagages


Elle poursuit son voyage


Avec le rêve et l’espoir


Retrouvés un certain soir

 

D’orage.

 


FFA 00051195



22/06/2012
2 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 270 autres membres