Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Mon âme

Lettre à mon âme

 

Toi ma fidèle, tu changes, mais tu restes la même. Parfois,

 

tu pleures et tu trembles de douleur et parfois, tu souris intérieurement et tu

 

chantes gaiement.

 

Ce n’est pas toujours gai de vivre comme si tout était

 

parfait. Ce n’est pas toujours simple de faire comme si tout suffisait et de

 

sentir au fond de soi un creux si grand que nous flottons dans le néant.

 

Ressentir le froid glacial d’un vide immense comme si nous ne vivions que dans l’absence.

 

Malgré tout, le sourire de l’enfance, la caresse des yeux,

 

des mains entrelacées, des espoirs partagés et une nature plus grande que nous,

 

transporte l’humain dans un autre univers, un univers de beauté et de lumière.

 

Alors mon âme, j’ose t’implorer de toujours demeurer ma

 

compagne sincère et loyale. J’ai besoin de ta flamme intérieure

 

FFA 00051195



17/05/2012
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