Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Le chagrin bâille

Le chagrin baîlle


Dans ce jour, qui se couche


La tristesse s’étend sur sa couche


Comme l’oiseau trop petit


Qui refuse de quitter son nid.

 

Pourtant,

 


Dans ce jour qui sommeille


Le chagrin bâille aux corneilles

 

Comme le gamin assis trop longtemps

 

Qui se fout du professeur impatient.

 

Puisque,

 


Demain, de nouveau le soleil se lèvera


Et la vie reviendra


Avec un ciel tout maquillé


Pour cacher les larmes séchées.

 

 FFA 00051195



04/06/2012
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