Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

La peau toute froissée


Lorsque s’éteint la lueur du jour


Ton regard rempli d’étoiles


Illumine ma nuit.

 


Lorsque s’installe la fin du jour


Nos deux corps comme la vigne


Se cherchent et s’entrelacent.

 


Dans ces instants qui nous appartiennent


Le temps n’existe plus


Et nos baisers meublent la chambre à l’ancienne.

 


Lorsque la nuit chasse le jour


Je t’écris ces simples mots d’amour


Avec mes yeux lourds


De sommeil.

 


Demain se lèvera un nouveau matin


Avec le désir plein les mains


Et la peau toute froissée


De s’être beaucoup aimé.


 

FFA 00051195

 

 



14/06/2012
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