Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

L'amour enfante toujours

Il n’y a pas si longtemps

Nous marchions main dans la main

Comme de véritables gamins

Nos souffles battaient la mesure

Et tout sentait le printemps.

 

Il n’y a pas si longtemps

Nos nuits s’allongeaient

Nos cœurs palpitaient

Nous vivions au temps présent

Au fur et à mesure.

 

Malgré certains mots qui éclaboussent les murs

Et certaines blessures qui saignent sous l’armure

Nous partageons toujours le même horizon

Et nos cœurs et nos âmes, nous chérissons

Car, au printemps, l’amour enfante toujours.

 

Nos doutes et nos colères font naufrage

Nos peurs et nos angoisses agonisent sur le rivage

Car, comme deux enfants

On a inventé notre vie

Car, comme deux enfants

On a refait le Monde.

 



25/11/2011
2 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 270 autres membres