Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Je m'enivre

Chacun porte en soi ses misères, ses colères et ses joies, mais quand la porte du jour s’entrouvre pour

 

laisser place à la lumière, ma chaumière se veut heureuse. Les rugissements de la mer se

 

métamorphosent en murmures caressants, l’herbe s’éveille, les fleurs s’étirent langoureusement, les

 

oiseaux se chamaillent sur les branches et moi, je m’enivre devant toute cette splendeur.

 

 

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09/05/2012
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