Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

IPHIGÉNIE

401030_10201212453703581_660726742_n.jpgIphigénie de Helene Miaz.jpg

 

IPHIGÉNIE

Elle se cache

Dans la forêt aux secrets

 Ses larmes, elle laisse tomber

Sa chanson est si triste

Sa voix tremble…

Frêle, petite

Avec un cœur déjà abîmé

Plein de tristesse

Loin de la source claire

Les ombres s’étendent

À l’heure où l’amour passe

La voilà toute seule

L’absence la guette

Elle a soif de tendresse…

Son âme comme un oiseau

Ouvre ses ailes

Prêt à s’envoler

Là où se déchirent les nuages

Malgré tout

Elle continue

Elle tourne les yeux vers l’aube nouvelle

Malgré tout

Elle continue

Le soleil agonisant

Est si beau

Dans le ciel

Il plonge en refermant

Les blessures

Et le soleil un matin

Entre à nouveau dans son cœur

Car

Lorsque l’on prend contre son cœur

La tendresse

Même dans un matin de pluie

Lorsque l’amour comme une caresse

Batifole au fond de soi

Le soleil brille sans cesse

Au creux du cœur

Floraison

De passions

Comme les fleurs

Aux mille couleurs…

 

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Artiste-peintre Helene Miaz

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



09/06/2014
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