Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Baiser mouillé

 

 

 

 

Devant le soleil couchant, je m’habille de douceur. Mon petit cœur de rose frémit

 

comme le baiser mouillé de l'enfant que je suis encore et toujours. Mon âme gazouille comme

 

l'oiseau perché sur sa branche et mes larmes se sont évaporées avec la rosée matinale. Avec le

 

crépuscule qui s’allonge, telle une fillette en tutu rose, le silence de l'océan, fredonne

la symphonie de l’absolu.

 

FFA 00051195

 

 

Réflexion inspirée de l'oeuvre d'Anita Bérubé:

 

http://ritanita.blog4ever.com/blog/index-485145.html



26/06/2012
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